mardi 26 janvier 2016

Top 5 des idioties 2015

2016 a été une année particulièrement propice en idioties. La génération Y élevée à grand coup de tolérance arrive à l'age adulte. Ils militent pour l’acceptante des pires comportements, mais surtout ils défendent les pires fausses victimes qui abusent de cet excès empathie. Le moyen de faire taire l'opposition est maintenant de l'accuser de racisme ou misogyne.

Trop long pour lire ? Voici le résumé :

  • La fille au matelas qui accusait son ex de l'avoir violée, a tourné une vidéo amateur de sexe qualifiée de viol pornographique
  • Rolling Stone Magazine a rapporté un viol collectif imaginaire, et ne s'en excuse pas
  • Bruce Jenner, un homme champion olympique de décathlon, est devenu "transgenre" et la femme la plus courageuse de l'année 2015
  • Deux dirigeants d'association contre le racisme et pour les personnes noires, se sont fait passer pour des noirs ou tout au moins des métisses noirs.
  • un homme de 46 ans affirme être une fille de 6 ans et passe à la télévision dans une émission célébrant les "transgenres"

La fille au matelas

En 2014 et 2015 la presse a massivement couvert la performance d'une étudiante de l'univerté de Columbia.

En Septembre 2014, jusqu'en mai 2015, Emma Sulkowicz a porté sur le campus de l'université de Columbia, un matelas d'une vingtaine de kg partout où elle allait. Présenté comme une "performance artistique féministe" nommé "porte ce poids-là", elle voulait portait le matelas tant que son prétendu agresseur ne soit expulsé de l'université ou qu'elle ait son diplôme.

Elle prétendait avoir été violé en 2012. En 2013 le garçon fut considéré innocent des accusations par la commission de l'université. Malgré ce jugement elle décide de manifester en portant ce matelas.

En avril 2015 le garçon fut totalement disculpé par une enquête de l'université. Il décide donc de porter plainte contre l'université, le directeur de l'université et le directeur de thèse d'Emma, qui ont respectivement laissé faire et encouragé la "performance féministe" d'Emma Sulkowicz, permettant à celle-ci de le harceler et le discriminer.

En fait les deux étudiants étaient petits-amis en 2012, mais il affirme qu'Emma Sulkowicz voulait qu'il entre par la petite porte, ce qu'il refusa. Elle l'accusa alors de l'avoir violer. Les associations féministes ont alors harcelé et tenté de cacher cette version des faits.

Selon les minutes du procès :

  • Emma a contracté une MST après avoir eu une relation non protégé en étant saoul (et l'a écrit sur Facebook)
  • Pendant ce temps, le petit-ami était en Allemagne, et recevait plusieurs messages du style "Tu me manques"
  • Plusieurs messages d'Emma demandait explicitement "baise-moi dans le cul", alors qu'elle affirmait que c'était forcé
  • Emma affirme ne pas avoir porté plainte à cause de la lenteur de la justice. En réalité, la section spécial pour les viols a refusé sa plainte par manque de preuve après une enquête préliminaire.

Le 3 juin 2015, Emma Sulkowicz réalise ce qu'elle nomme "une performance artistique", nommé (en français) "Ceci n'est pas un viol" (une référence évidente au tableau "Ceci n'est pas une pipe" de Magritte). Il s'agit d'une sex-tape de 8 minutes mettant en scène ce qui est du sexe consenti pendant 3 minutes, puis se transforme en viol.

Du point de vue "féminisme", le but est évidement de vouloir pousser l'idée que les lois et la notion de viol ne sont pas suffisamment en faveur des femmes. Les féministes voudraient qu'une femme puisse dire "j'ai été violée par tel homme" et que le juge la croit sur parole. C'est un point de vue extrêmement misandre, puisque le principe est que la parole de la femme serait plus fort que celui de l'homme. (Rappelons qu'en parallèle les féministes militent pour qu'une "agression sexuelle" envers un homme ne soit pas nommé "viol").

Bien entendu, au travers de cette vidéo, elle cherche à démontrer qu'on doit la croire sur parole quand elle dit que son petit-ami l'a violé, malgré ce qu'elle a pu écrire sur Facebook. Mais elle se tire une balle dans le pied, car sa performance montre qu'elle est capable de simuler un viol devant une caméra... Cela démontre aussi le peu de valeur qu'elle accorde à une relation sexuelle et repousse grandement la limite de ce qui peut être considéré comme un viol envers elle. Le juge doit aussi évaluer le niveau de blessure psychologique : ce genre de vidéo démontre que de son point de vue, un viol n'est pas quelque chose d'aussi grave qu'elle voudrait le faire croire.

En clair, on peut reprendre la blague : "un viol chez une prostituée, est un client qui n'a pas payé".

La performance a été très mal accueillie, car définie par beaucoup de journalistes comme une œuvre pornographique de mauvais goût.

Le faux viol rapporté par Rolling Stone Magazine

Cette histoire commencée en 2014 a fini en 2015.

Le 19 novembre 2014, le magazine Rolling Stone a publié un article de Sabrina Erdely. Elle y raconte le viol collectif de Jackie (pseudonyme) par sept membres de la fraternité Phi Kappa Psi du campus de l'université de Virginie lors d'une fête. (Les fraternités sont souvent nommée "les grecs" en raisons de leur nom utilisant des lettres grecques). L'article eut beaucoup de succès et réussit à choquer et émouvoir l'Amérique (USA et Canada).

Après deux mois d'enquête il s'avéra que :

  • la journaliste est une activiste féministe qui était à la recherche d'une histoire de viol sur un campus américain. Son but était de prouver que les campus sont tels que les féministes le pensent : des endroits où le viol est courant (les féministes poussent cette idées, maintes fois démontrée fausse, depuis les années 1980)
  • A la demande de Jackie, la journaliste n'a interrogé que très peu de personnes. Aucun travail de recoupement n'a été fait.
  • Après enquête de la police, aucun élément ne vient soutenir les affirmations de Jackie
  • Il n'y a pas eu de fête à la fraternité ce soir-là
  • Aucun membre de la fraternité ne correspond à la description de Drew, le supposé chef de la soirée
  • La description de l’agencement des locaux de la fraternité, est fausse
  • Le viol était présenté comme faisant partie d'une séance d'engagement de nouveaux membres, alors que les séances d'engagement de la fraternité ont en réalité lieu au printemps, pas en automne.
  • Jackie affirme être passé au travers d'une table en verre, et d'avoir eu de nombreuses blessures. Les amis qui ont aidé Jackie après son prétendu viol, affirme qu'elle n'était blessée.
  • Jackie affirme que ses amis sont venus près de la fraternité vers 3 heure du matin, alors que ses amis affirment être venus la chercher loin de tout bâtiment vers 1 heure du matin.
  • Ses amis disent que Jackie avait alors affirmé avoir été violé par 5 personnes. Elle a dit à la journaliste qu'il y en avait 7.
  • L'un des amis affirme n'avoir jamais parlé à la journaliste, malgré ce qu'affirme l'article.
  • Plusieurs "témoins" cités dans l'article affirment que la journaliste avait des vues très orientée quand elle les a interviewé.
  • Jackie affirmait que ses amis l'avait poussé à ne pas porter plainte, alors que ses amis affirment que c'est elle qui n'a pas voulu.

L'homme qui est censé avoir invité Jackie et a encouragé les violeurs, a été nommé Drew (pseudonyme) dans l'article. Le nom réellement donné par Jackie était "Haven Monahan". Or ce nom ne correspond à personne : ce nom n'existe nul part. La photo donné par Jackie est l'un de ses camarades de classe du lycée, qui n'est jamais venu à l'Université de Virginie, et qui lors du viol était à une compétition d'athlétisme à l'autre bout du pays. Ses lettres d'amour sont des plagiats de lettres d'amour des séries télévisée Dawson's Creek et Scrubs. Son nom est une combinaison de noms de personnes que Jackie connaissait au lycée. Les SMS qu'il a envoyé viennent d'un service fait exprès pour faire croire que ces messages viennent d'un vrai téléphone à partir d'une application sur téléphone mobile ou d'un ordinateur.

Les trois amis ont déjà tenté de localiser Drew avant le prétendu viol, mais n'ont jamais réussi à le trouver dans les annuaires du campus et de l'université. Les messages échangés par SMS était étrangement élogieux envers l'un des trois amis.

La version fortement suggérée de l'histoire est que Jackie s'est inventé un petit ami, mais voyant ses mensonges ne pouvaient plus tenir, elle a fait croire qu'elle s'est faite violer et qu'il en était complice.

L'absence de vérification et de recoupement fait de cet article ce que peut faire de pire un journaliste. Le fait qu'il ait été publié est une honte pour un véritable rédacteur en chef.

Le 5 avril 2015, la journaliste présente ce qui est jugé comme de fausses excuse, ne citant pas dans ses excuses les personnes à qui l'histoire a fait du tord, mais défendant l'obligation de croire coûte que coûte une femme qui affirme avoir été violée. Encore une fois la direction du journal a laissé passer un comportement honteux.

L'université, trois étudiants et la fraternité ont porté plainte de manière séparé contre le magazine Rolling Stone et la journaliste. Nous entendrons sans doute encore parler de cette histoire.

La femme la plus courageuse de l'année, est un homme !

William Bruce Jenner est un sportif américain au décathlon qui a participé aux Jeux Olympique en 1972 et 1976. Il a la médaille d'or en 1976. Il est plusieurs fois champions de Décathlon des Etats-Unis en 1974, 1976.

Le 25 avril 2015 il révèle qu'il se considère "transgenre" (le genre n'étant que le sexe ressenti dans la tête), et souhaite "entamer une transition" : c'est à dire une opération purement esthétique sur les organes sexuels destiné à faire croire à un changement de sexe. Le terme étant plutôt vague, ce n'est pas vraiment sûr que les organes sexuels soient réellement touchés. Malgré cela, il est toujours attiré sexuellement par les femmes (merci de laisser votre cerveau à l'entrée : c'est trop dur à comprendre).

Le 1er juin 2015 il affirme avoir fait sa transition. Il désire qu'on l'appelle Caitlyn Jenner et qu'on utilise le pronom féminin envers lui... eux elle.

Les "transgenres" s'estiment de plus en plus légitimes à s'offusquer quand quelqu'un n'utilise pas leur pronom favori. Comme ils se sentent "victimiser" par la société, ils s'estiment en droit à des privilèges grammaticaux que les non-victimes n'ont pas.

En Octobre 2015, parmi des 25 prix de la femme de l'année par le journal Glamour, il reçoit le prix du courage.

Comme souligné par plusieurs commentateurs, le "courage" de Jenner a surtout été d'enchaîner les interviews avec des journalistes très favorables à sa transition. De plus il n'est pas certain que ses parties génitales aient été modifiées. Jenner est toujours attiré par les femmes, et envisage depuis décembre de redevenir Bruce !

Tout au long de l'année, Jenner a eu le soutien des journalistes de gauche. Quelle ironie ! Il révèle, qu'il votera à droite, et même pour Donald Trump. Il est contre le mariage Gay !

Lors d'un débat télévisé, Bruce ou plutôt Caitlyn était assis à côté d'un contradicteur. Bruce a évidement la carrure d'un champion de décathlon, et son opposant a une carrure plutôt normale. A un moment du débat, Bruce attrape l'autre homme par le collet est lui dit "retient bien que je suis une femme ou tu rentreras chez toi en ambulance"... Surréaliste ! C'est claire qu'on est beaucoup plus courageux quand on a la carrure d'un athlète de décathlon... (Notez aussi que si on entre dans une ambulance après une altercation, ce n'est pas pour rentrer chez soi.)

Les faux noirs leaders de mouvement activistes noirs

Cette année nous avons eu droit à deux affaires étranges : deux leaders d'associations anti-racistes et plus particulièrement pour les noirs qui affirmait être noirs, étaient en fait deux personnes très très blanches !

Shaun King est un journaliste qui a beaucoup écrit sur Michael Brown (tué par un policier) et a ensuite fortement contribué au mouvement "Black Lives Matter" : mouvement qui vise à dénoncer la violence et l'impunité de la police suite à la mort de Michael Brown justement. Shaun affirme être en partie noire, et utilise des photos fortement contrastés. Avec sa coupe de barbe et de cheveux, il donne l'impression d'être effectivement noir ou tout du moins en partie. En réalité, son père et sa mère sont blancs. Shaun se défend en affirmant que ce n'est pas son père biologique sur son certificat de naissance. Quoiqu'il en soit, il a la peau très clair, et même très blanche.

Rachel Dolezal était la présidente de "l'association nationale pour l'avancement des gens de couleurs". Avec son teint coloré et ses cheveux bouclés elle a l'air d'être effectivement en partie noire. Or ses parents ont produit son certificats de naissance, affirmant qu'ils sont d'origine allemande et tchèque, tout ce qu'il y a de plus blanc. Ils affirment qu'elle se déguise en personne de couleur. Ils ont produit une photo d'elle adolescente, où elle est très très blanche avec les yeux bleus et les cheveux blonds droits sans boucle. Rachel affirme s'identifier comme personne de couleur et s'est visiblement teinté la peau à l'autobronzant : nous avons donc à faire à un cas de problème mental.

Stefonknee Wolschtt : un homme de 46 ans affirme être une fille de 6 ans

Un reportage avec musique triste nous a fait découvrir un père de famille de 46 ans marié depuis 23 et père de 7 enfants. Mais un jour, il découvre qu'il est un trans-genre, et il faut l'appeler "Stefonknee" (à prononcer "Stéphanie"). Sa prétendue "méchante" femme décide alors de le virer de chez lui, tant qu'il ne redevient pas raisonnable.

Il est alors adopté par une autre famille qui accepte de l’accueillir comme une fille de 6 ans. Il voulait être la petite sœur de leur enfant, et ils font des "sessions thérapeutique" où il affirme dessiner, et faire des trucs d'enfants.

Par contre les journalistes omettent qu'en cherchant un peu sur Internet on tombe sur des scènes de jeux sexuels entre ses nouveaux parents et Stefonknee.

Certains activistes semblent vouloir pousser son inscription dans une école maternelle et qu'il puisse aller jouer dans les jardins d'enfants : voilà bien le genre de personne que vous ne voulez surtout pas voir près de vos enfants !

Le site Salon a publié des articles en faveur de la pédophilie

Entre septembre et octobre 2015, le Site Salon a publié au moins deux articles qui défendent l'idée que les pédophiles sont oppressé par la société.

N'hésitez donc plus à confier vos enfants à un pédophile.

Excusez-moi, je vais aller vomir !

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