mardi 12 avril 2016

Le mythe de l'écart de revenu entre homme et femme

L'un des grands mythes (ou plutôt mensonges) du féminisme est que l'écart de salaire entre homme et femme serait dû à un sexisme inavoué de notre société.

Le féminisme essaie de pousser l'idée que les hommes et les femmes sont parfaitement interchangeables. Pourtant les faits sont têtus : les statistiques de l'INSEE prouvent encore et encore à quel point les hommes et les femmes ont des vies différentes. Par choix, par aspiration ou par obligation, la vie des hommes et des femmes est différente.

Comment sont fixés les salaires dans une entreprise privée

Nous ne vivons pas dans un monde tel que vu par Karl Marx où chaque heure de travail a la même valeur. Nous vivons dans un monde économique concurrentiel où chaque "agent économique" (entendez "travailleur") doit chercher sa case de travail où il sera le mieux rémunéré par rapport à ses compétences et ses capacités.

Les salaires sont négociés au cas pas cas dans le secteur privé, de sorte qu'il revient à l'employé de faire jouer la concurrence et de se valoriser vis à vis de son employeur. L'employeur doit alors évaluer la valeur de son employé et le coût de son remplacement s'il part. Or les choix de vie de chaque travailleur, notamment la priorité de la vie privée et familiale sur la vie professionnelle peut avoir une incidence sur les choix de l'employeur.

Quand il s'agit de choisir lequel des deux parents va s'occuper des enfants malades, ou quand l'école ferme (le mercredi par exemple), le choix va en toute logique se tourner vers le parent qui a le plus bas salaire. Il s'agit le plus souvent de la femme.

La différence de salaire va donc se creuser avec l'avancement dans la vie : moins une femme s'implique, moins elle cumule d'expérience, et moins elle sera augmenté, moins elle aura envie de s'impliquer.

Les salaires les plus élevés peuvent recourir à une nourrice : il s'agit alors de choix de vie. Voulez-vous élever vous-même vos enfants ou le déléguer ?

Le féminisme : le débat stérile d'opposer hommes et femmes

D'un point de vue fiscale, les revenues sont calculés par foyer. Mais le féminisme insiste pour opposer les hommes et les femmes en voulant comparer leurs salaires. Or bien souvent les décisions du couple, de la carrière, de la place de la vie privée et familiale se décident ensemble, et en ayant comme objectif le bien-être du foyer dans son ensemble.

Les choix de vie, et la culture font qu'il est plus admis que ce soit l'homme qui travaille et se "sacrifie" pour sa famille. Mais le féminisme présente cette situation comme une perte d'indépendance pour la femme (une rhétorique trompeuse).

Or dans le monde réel, même en cas de divorce la femme pourra recourir à la loi pour prendre une pension alimentaire au père. Et en cas d'augmentation du salaire du père, c'est pension alimentaire pourra être augmentée.

Dans le monde réel, une femme peut avorter ou abandonner son enfant. Rappelons que le père ne peut pas intervenir dans la décision finale de pratiquer l'avortement (ni pour, ni contre).

Le système de retraite, fait que la femme peut "hériter" d'une partie de la pension du mari.

La loi française est donc très fortement en faveur des femmes : ce qui n'est pas un mal, mais qu'il est bon de rappeler.

Sous le régime de la communauté du mariage, du concubinage ou du PACS, chaque euro gagné par un membre du foyer appartient automatiquement aux deux membres. Vouloir séparer les revenus d'un foyer en deux parts inégales entre l'homme et la femme, alors que des décisions de carrière et de vie familiale ont été prises ensemble et dans l'intérêt du foyer, est une énorme tromperie.

Les inégalités physiques et psychologiques

Pour le féminisme, le crime de lèse majesté est d'oser rappeler que les hommes et les femmes sont physiquement différents. Pourtant le nombre de différences physiques est impressionnant : taille, musculature, barbe, calvitie, pilosité, partie génitale, répartition de la masse corporelle, forme des os (en particulier, l'os du bassin), seins, traits du visage...

La communauté scientifique de la recherche médicale admet que l’œstrogène favorise le développement des neurones : les femmes auraient ainsi une meilleure mémoire que les hommes, ce qui pourrait expliquer pourquoi les femmes ont un meilleur taux de réussite au BAC.

La testostérone, en plus de développer les muscles et la taille, a une influence sur le caractère. Elle a tendance à faire ignorer le danger, et donc faire prendre plus de risque.

Les moyens d'imagerie modernes comme l'IRM permettent de cartographier l'activité du cerveau. Le résultat est clair : l'activité du cerveau se propage bien différemment chez les hommes et chez les femmes.

Les défenseurs de la théorie du genre qui affirment que le cerveau n'est différencié que par l'apprentissage. Ils invoquent la capacité d'adaptation du cerveau qui va se plier à ce qu'on attend de lui. La plasticité a bon dos : elle ne peut expliquer qu'une accentuation d'une différence préexistante, car cette différence est présente à travers toutes les cultures du monde entier.

Les disparités entre les choix de vie des hommes et des femmes surgissent lorsqu'il s'agit de choisir l'orientation dans les études supérieures. Les hommes préfèrent les matière scientifiques, mais les femmes préfèrent métiers à connotation sociale.

Quant aux métiers physiques, salissant et dangereux, le taux de femmes dans tous les métiers de construction est entre 0 et 1% (!), et les autres métiers physiques ne font que légèrement mieux...

Égalité d'opportunité contre obligation de résultat

Tout est affaire de rhétorique. Les ministres et secrétaires d'état essaient de renommer la "discrimination positive" en "égalité réelle" (les anglophones utilisent l'expression "Affirmative Action"). Mais la philosophie est la même et tout aussi détestable ! La "discrimination positive" vise à discriminer positivement les femmes, et implicitement négativement tout le reste.

Jusqu'à quelques années les sociétés et les écoles avaient une obligation d'offrir les mêmes opportunités aux hommes et aux femmes. Or cela ne marche pas ! Même en Suède, le pays le plus féministe du Monde, les femmes ne s'orientent pas vers les matières scientifiques et préfèrent les métiers à connotation sociale.

Mais au lieu d'en arriver à la conclusion que peut-être, probablement, sans doute, le postulat de base, à savoir "les hommes et les femmes sont parfaitement interchangeables", serait faux, le féminisme affirme que le système reproduit ses discriminations de génération en génération.

Il s'agit du même débat que la plasticité du cerveau : certes le cerveau a des capacités d'adaptation, mais quand les mêmes différences apparaissent à travers toutes les cultures de toutes les peuplades à travers le Monde, nous ne pouvons qu'inévitablement conclure que la "construction sociale" n'explique pas tout, et ne fait que renforcer une différence préexistante !

Sans aucune preuve, les féministes affirment que le bonheur de la femme passera par son indépendance vis à vis de l'homme : et tant pis si 99% de la population est hétérosexuelle, nous devons nous aligner sur l'idéal de vie des 0,4% de la population qui est lesbienne qui veut vivre en couple en ayant des enfants...

La conclusion des féministes est donc que l'égalité d'opportunité n'est pas suffisante, il faut maintenant une obligation de résultat et des sanctions.

Les sociétés ont donc maintenant l'obligation de mettre en place des statistiques, et des plans pour équilibrer les salaires. La sanction peut aller jusqu'à 1% de la masse salariale.

Le féminisme veut imposer une égalité sur une base sablonneuse. La France vise l'égalité de salaire entre hommes et femmes alors que des choix de carrière et de vie privée font que leur travail n'est pas équivalent. Les hommes et les femmes ne sont pas interchangeables. Les hommes et les femmes sont physiquement différents, de sorte que leur productivité ne sera pas non plus la même ! Les motivations ne sont pas les mêmes en moyenne, de sorte que toute comparaison des salaires en moyenne relève de l'absurde.

La comparaison des chiffres bruts

En 2012, un rapport du ministère de la famille, utilise la moyenne des salaires des actifs masculins et féminins. L'écart de salaire est alors de 27% en se basant sur les statistiques de la DARES.

Ces chiffres ne tiennent pas comptes de nombreux critères : le type de poste occupé, le niveau de responsabilité, le temps de travail (partiel ou complet), la productivité du travailleur.

Ça n'a pas vraiment de sens de comparer le prix moyen des choux et des pommes de terres ! Pourquoi comparer le salaire d'un loup de la finance dont les dents rayent le parquet à une syndicaliste qui ne veut que remplir la soupière ?

La comparaison "toute chose étant égale par ailleurs" ou les "différences de salaire injustifiées"

En octobre 2015, le secrétariat du droit des femmes rattaché au ministère du travail a utilisé des pourcentages de "différence de salaire injustifiées". En fait, ils sont utilisés des statistiques de l'INSEE et leur calcul nommé "toutes choses étant égales par ailleurs". Ils concluent que l'écart "injustifié" est de 11%.

Le rapport est trompeur, puisqu'il liste toutes les raisons pour lesquels il est absurde de comparer les statistiques sans correction, mais il laisse l'impression que tout a été corrigé dans "l'écart injustifié". Or c'est faux ! L'INSEE l'affirme dans tous ses rapports : elle regrette de ne pas avoir certaines données en correspondance des salaires, (par exemple l'INSEE voudrait le nombre réel d'années d'expériences au lieu de seulement l'âge). De sorte que "l'écart injustifié" ne peut en aucune façon prendre en compte tous ces critères qui justifient l'écart de salaire !

Si vous grattez le vernis de la comparaison "toute chose étant égale par ailleurs" , l'INSEE vous donnera toute une cargaison de raisons qui vous expliquent pourquoi cette comparaison est ridicule. A chaque fois que je replonge dans le sujet, je me surprends à découvrir une nouvelle raison : à chaque fois ce sont des choix de vie et de carrière.

Mais en découpant la population en sous-ensemble ayant les mêmes caractéristiques, l'INSEE se heurte au fait que le nombre de personnes est alors trop petit (notamment dans les DROM-COM, nouveau nom des DOM-TOM où la population est petite) pour que la moyenne ait un quelconque sens et soit interprété comme révélateur de quoique ce soit.

Le calcul de "toute chose étant égale par ailleurs" devrait s'appeler "calcul étrange, égalisé au mieux et au doigt mouillé par rapport aux données dont nous disposons... mais voici une pelleté de critères non pris en compte dans ce calcul ridicule !".

Concrètement, comment définir un écart de salaire injustifié ?

De base, nous essayons donc de chercher de l'égalité dans un système de fixation libre des salaires. Le marché de l'emploi est volontairement impure et imparfait, de sorte que par essence la fixation des salaires est loin d'être optimum (et nous l’espérons, à l'avantage de l'employé). C'est le meilleur système qu'on ait trouvé pour motiver chaque "agent" à être utile au mieux de ses capacités tout en lui garantissant une stabilité dans sa vie professionnelle.

Plus vous êtes utile à quelqu'un ou à une entité, mieux vous serez payés.

Il sera considéré comme injuste, deux personnes ayant des résultats identiques qui ne sont pas payés de la même manière par des entités de taille équivalente.

Même cette définition de juste rémunération n'est pas parfaite, puisqu'en France, il n'est pas permis de se séparer d'un employé légèrement surpayé : le coût du licenciement est bien souvent supérieur au gain supposé. Ce manque de "fluidité" est voulu pour rendre plus humain le monde du travail. Il ne reste plus qu'à assumer ces choix en arrêtant de faire peser un risque d'amende sur les sociétés qui sont dans de tels situations.

Nous sommes donc le cul entre deux chaise : nous voulons une égalité entre tous les salaires du travail équivalent sans avoir de fluidité du marché du travail, mais en gardant un minimum de concurrence entre les employeurs d'un côté, et entre les employés de l'autre.

Une solution extrême serait d'imposer grille de salaire. Cela transformerait le secteur de l'emploi privé en pseudo-fonctionnariat. Nous imposons déjà un salaire minimum. Mais il semble irréaliste d'imposer une grille de salaire qui peut se révéler difficile à maintenir.

Les raisons des différences de salaires

De nombreuses obstacles rendent difficile difficile la comparaison entre les salaires des hommes et des femmes:
  • Le taux d'activité n'est pas le même : nous pouvons supposer qu'il y a beaucoup de femmes au foyer chez les inactifs (temporairement ou définitivement).
  • La proportion d'emploi à temps partiel est plus élevé pour les femmes.
  • Les femmes cessent leur activité plus tôt
(Pour rappel : un actif est une personne ayant ou cherchant un emploi. Un inactif ne cherche pas d'emploi. Le taux de chômage n'est calculé que sur les actifs.)

Voici une liste de raison de la différence de salaire entre hommes et femmes :

-> La formation initiale est souvent très différente : les femmes choisissent plutôt des formations à connotation sociales, tandis que les hommes préfèrent plutôt des matières scientifiques plus rémunératrices.

-> À cause du temps partiel, des congés de maternité plus long que les congés de paternité, et des arrêts volontaires de toute activité, les femmes accumulent moins d'expérience

-> Les femmes ont plus souvent recours au temps partiel, or le temps partiel est moins bien rémunéré que le temps plein

-> La rémunération augmente avec l'âge, or les femmes prennent leur retraite avant les hommes de sorte qu'elles cessent leur activité au moment où elles gagneraient le plus, faisant ainsi diminuer la moyenne

-> Le temps partiel est incompatible avec des postes d'encadrement et à responsabilité. Les femmes étant plus souvent à temps partiel que les hommes, la présence des femmes dans les postes à responsabilité est donc moindre.

-> Les femmes travaillent plus près de chez elles que les hommes. En faisant le choix de chercher leur travail plus près de chez elles, les femmes restreignent le nombre de postes auxquels elles peuvent postuler par rapport aux hommes, renonçant probablement à des offres d'emploi mieux payés.

-> Selon les statistiques du semi-marathon de Paris, nous ne pouvons que constater que les hommes sont plus efficaces de 15% que les femmes (que ce soit les premiers, en moyenne, en médian : le résultat est équivalent) : pourquoi en serait-il autrement au travail ? Ce résultat n'est pas isolé : les hommes surclassent les femmes dans beaucoup de sport.

L'INSEE corrige certaines de ces disparités, en calculant la différence "toutes choses étant égales par ailleurs" en extrapolant le temps partiel en temps plein, et en comparant des salaires de postes équivalents, selon le secteur d'activité et le niveau de responsabilité. Mais l'INSEE regrette de ne pas avoir de données sur l'ancienneté et ne peut donc comparer que les salaires personnes ayant le même age, sans pouvoir tenir compte des interruptions de carrière et du temps partiel induisant une expérience moindre. Cette correction ne tient pas compte non plus du diplôme.

Les causses des inégalités (dont sont issues les causes plus hauts) sont donc dues à :

  • des choix personnels différents
  • des capacités physiques différentes
  • la natalité et la vie familiale
  • la culture : il est culturellement plus admis qu'une femme cesse de travailler pour élever les enfants, mais aussi avant d'atteindre l'âge de la retraite

Si le travail des hommes et des femmes était réellement équivalent, les sociétés qui ne cherchent qu'à optimiser leurs revenus embaucheraient massivement les femmes moins payées pour avoir un avantage économique sur leurs concurrents. Il est illusoire de croire que dans une société capitaliste, les sociétés renonceraient à 5, 10 ou 20% de marges sur les salaires.

Ignorons les problèmes des hommes !

Le féminisme consiste aussi à totalement ignorer les problèmes des hommes. Voici donc toute une série de problèmes qui ne seront pas adressés par les différents ministres et secrétaires d'état à l'égalité, parce qu'il faut que les femmes soient plus égales que les hommes :
  • 73% des morts par suicide sont des hommes
  • Les hommes ont un travail plus pénible :
    • Travail de nuit : h = 29% / f = 11%
    • Travail physiquement exigeant : h = 46% / f = 34%
    • Produits nocifs : h = 29% / f = 19%
  • Les hommes ont plus de chance d'avoir un accident du travail :
    • h = 30 accidents du travail / million d'heures de travail
    • f = 17 accidents du travail / million d'heures de travail
  • Les hommes meurent plus au travail (moyenne / an entre 2002 et 2004) :
    • Morts au travail : h = 695 (soit 94%) - taux = 6 / 100 000 heures de travail
    • Morts au travail : f = 44 (soit 6%) - taux = 0,4 / 100 000 heures de travail
    • Morts sur le trajet du travail : h = 459 (soit 78%) - taux = 3,9 / 100 000 heures de travail
    • Morts sur le trajet du travail : f = 132 (soit 22%) - taux = 1,3 / 100 000 heures de travail
  • 62% des SDF sont des hommes. Parmi les SDF, seulement 5% de ceux qui dorment dans la rue sont des femmes.

Et les non salariés ?

Ça peut paraître étonnant, mais même pour les professions non salariés (artisans, commerçant, profession libérale, entrepreneurs, etc), la rémunération des femmes est plus faible !

Secteur Proportion de
femmes en %
Revenu annuel moyen Différence en %
Hommes Femmes
Commerce 32,0 29 900 24 700 17
Construction 4,5 31 000 25 300 18
Industrie 20,2 30 800 17 600 43
Services 39,6 47 000 30 100 36
Gérants sans liens 23,9 29 000 20 000 31
Ensemble 31,3 38 400 28 100 27

Dans ces cas-là, le sexisme de l'employeur est hors de cause, puisque l'employeur et l'employé sont une même personne...

Conclusion

Le féminisme a constamment menti sur les écarts salariaux entre hommes et femmes :
  • les choix de vie familiale et de déroulement de carrière se font au sein de chaque foyer pour le bien du foyer dans son ensemble, mais pas en raisonnant en opposition hommes contre femmes
  • la loi protège déjà les femmes qui divorcent, qui sont veuves
  • à cause des choix de vie, des études à la vie de famille, jusqu'à la retraite, le travail des hommes et des femmes est totalement différent en moyenne, de sorte qu'une comparaison moyenne des salaires, même corrigée par tranche d'âge, par secteur d'activité, par poste, par responsabilité, par taille d'entreprise, n'a que peu de sens. Le nombre de critères différenciant non pris en compte reste trop grand et difficilement estimable pour affirmer que le résultat ait un quelconque sens
  • il est culturellement plus admis qu'un homme fasse plus de "sacrifices" pour le bien-être de son foyer, en terme de temps de travail, de temps de transport, de dangerosité du travail, d'implication dans sa vie professionnelle
  • les salaires étant faits au cas par cas, selon la valeur apportée et supposée de l'employé d'un point de vue productif et relationnel, il est difficile voir impossible d'estimer le juste salaire d'une personne.
  • le manque de fluidité du marché de l'emploi rend impossible de rectifier les salaires trop élevés : cette situation voulue doit être assumée
  • le fait que les hommes aient plus de devoirs envers sa famille et la société, se manifeste entre autre sur le taux de suicide qui est supérieur pour les hommes, mais aussi par la conscription (qui n'est que suspendue en France)

Aucun ministre des droits des femmes n'a réussi à prouver la réalité d'une discrimination salariale "injustifiée" et donc "sexiste" envers les femmes.

Pour toutes les raisons citées, le travail des hommes et des femmes ne peut pas être considéré comme strictement équivalent, et méritant la même rémunération. Toute tentative d'imposer une "égalité réelle" par le biais d'une "discrimination positive" envers les femmes, ne serait en réalité qu'une discrimination négative envers les hommes.

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